INAD ABUSEUR DE FAIBLESSES
Fiche d’information pour les
consommateurs
et les médias
Depuis plusieurs années de fausses
informations au sens de la pratique trompeuse identitaire, des aptitudes et des
droits, sont diffusées par une organisation se faisant appeler inad. Laquelle
inad dissimule ses caractéristiques essentielles, ainsi que les procédés de ses
prestations de service
Pratique trompeuse identitaire
Deux
espèces récentes sous la forme de 2 arrêts de cour d’appel révélaient,
relativement, que l’organisation se faisant appeler inad n’était pas un
institut national :
-l’arrêt
25/10/2012 de la Cour d’appel d’Aix en Provence Gérard Labarrère c/Inad,
-l’arrêt
08/10/2013 de la Cour d’appel de Versailles Virginie Frigola c/Inad.
Les
juges d’Aix en Provence réformaient une ordonnance de référé de Toulon ayant
attribué 18 720 euros à l’Inad au motif que l’Inad n’existait pas. Pas de
capacité juridique.
Attendu que Monsieur Labarrère reprend, devant la cour, le moyen
d'irrecevabilité des demandes de l'association intimée au motif notamment que
celle-ci ne dispose d'aucune existence légale, qu'elle n'est pas déclarée en
préfecture ;
Attendu que l'intimée se borne à affirmer qu'elle est un organisme
associatif 'régulièrement immatriculé auprès de la préfecture de police de
Paris' mais n'en justifie pas, aucune pièce n'étant produite en ce sens ; qu'il
s'ensuit que, faute d'établir sa capacité juridique résultant d'une déclaration
préalable en préfecture, l'association en cause est dépourvue du droit d'agir,
par application des articles 2 et 5 de la loi du 1er juillet 1901, 32 du code
de procédure civile
L’affaire
nécessite d’être replacée dans son contexte. Toutefois les juges d’Aix, comme
ceux de Versailles dans l’arrêt Frigola, ci-dessous, constataient une réalité,
sans en dire assez. Notamment sur l’incapacité juridique de l’Inad. Il fallait
creuser davantage cet aspect identitaire de l’arrêt.
Par
arrêt daté 08/10/2013 les juges de la Cour d’Appel de Versailles confirmaient,
indirectement, que l’organisation se faisant appeler Inad ne détient aucun
droit sur ce titre en ces termes y compris en qualité de droit d’auteur:
or considérant que l'association Institut national des arts
divinatoires ne saurait prétendre à la protection au profit de l'auteur de l'abréviation
'INAD', banale reprise des initiales de son nom qui ne traduit aucune démarche
créative et ne constitue pas, en elle-même, une oeuvre de l'esprit;
qu'il s'ensuit qu'infirmant la décision déférée,
l'association Institut des arts divinatoires ne peut se prévaloir des
dispositions sur le droit d'auteur et sera déboutée de ses demandes au titre de
la contrefaçon;
Résumons
ces deux décisions, aussi surprenantes, que banales. Afin de conserver la somme
de 14 000 euros déjà encaissée, l’Inad optait pour un arrêt civil de Cour
d’Appel la déclarant incapable d’agir en justice, afin de ne pas restituer de
l’argent illégalement perçu. Cette affaire de restitution de somme d’argent
illégale est appelée à rebondir, au cours des prochains mois de 2019, pour une
somme encore plus conséquente. Sans que cette fois l’Inad ait un argument de
défense à opposer à l’action engagée contre elle. Ainsi que, vraisemblablement,
contre chacun de ses «adhérents» professionnels de la voyance, appelés, chacun
en ce qui les concerne, à mettre la main à la poche pour rembourser
l’équivalent de 300 000 euros à une victime de la voyance détentrice d’un
titre de créance exécutable confirmé par arrêt de la cour de cassation.
Les
juges d’appel de Versailles au prétexte de la banalité refusaient à l’inad de
revendiquer le sigle inad. Un arrêt surprenant puisque la loi du 1er
juillet 1901 sur le titre de l’association, lui confère un droit de
dénomination. Les juges de Versailles constataient une anomalie, sans toutefois
préciser laquelle. Il fallait donc creuser encore davantage la piste
identitaire.
C’est
ainsi que par fourniture de son ex hébergeur, la Sté Pictures On Line, les
statuts de l’Inad étaient communiqués. Le 4 janvier 2000 étaient publiés au
Journal Officiel les statuts d’une NOUVELLE association inad, présumée
consommateur, mettant fin à l’ANCIENNE Inad du 25 novembre 1987 ayant alors
pour objet social la promotion des arts divinatoires. Les juges d’Aix avaient
raison de juger
irrecevables les demandes de l'association 'Institut national des arts
divinatoires',
dont
l'activité consiste en la défense des personnes victimes de pratiques occultes
et/ou arts divinatoires exercées par certains professionnels, présumée déclarée
en 1987.
Par
courrier officiel daté 6 novembre 2018, 6 années plus tard, enfin, le ministre
de l’Education déclarait qu’il n’EXISTE PAS d’établissement privé dénommé INAD.
Confirmant ainsi les 2 arrêts d’espèce d’Aix et de Versailles. Pas de
dénomination sociale INSTITUT NATIONAL des ARTS divinatoires. Inad illégal.
Pratique trompeuse des
caractéristiques essentielles
La
radiographie de l’Inad aux rayons 111 de la DGCCRF impose de déterminer les
caractéristiques essentielles de sa prestation.
b) Les caractéristiques essentielles du
bien ou du service, à savoir : ses qualités substantielles, sa composition, ses
accessoires, son origine, sa quantité, son mode et sa date de fabrication, les
conditions de son utilisation et son aptitude à l'usage, ses propriétés et les
résultats attendus de son utilisation, ainsi que les résultats et les
principales caractéristiques des tests et contrôles effectués sur le bien ou le
service
L’organisme dépourvu
d’existence légale inad affirme agir pour les consommateurs victimes des
prestataires de la divination. A cet effet, le ministre relevait que cet
organisme n’est pas agrée par la loi à agir au civil comme au pénal pour la
défense des consommateurs. Sa prestation essentielle n’est pas la défense des
consommateurs.
Ce même organisme prétend
agir, aussi, pour le compte des professionnels de la divination au motif d’un
code de conduite. Ses statuts ne lui en donnent pas la capacité, y compris au
motif de la « déontologie à apporter
à la pratique…»
La réalité de l’activité
de l’organisme illégal inad se trouve dans la pratique de se faire délivrer un
pouvoir, par les victimes de la divination, afin d’encaisser 15% de sommes non
précisées à recouvrer. Une prestation illégale, et non déclarée, de
recouvrement de sommes non exactement déterminées, en trompant le consommateur.
Ainsi que Parquet du Procureur de Paris. Car en échange cet organisme illégal
propose de «soutenir devant les autorités judiciaires» la, ou les victimes,
sans en avoir ni le pouvoir civil, ni non plus le pouvoir pénal.
Cette prestation constitue une tromperie sanctionnée
par plusieurs textes, dont l’un par 7 ans de prison et 750 000€ d’amende, au
titre de l’abus de faiblesse. Voila ce qu’est l’Inad. Un abuseur de faiblesses,
exerçant ses sinistres activités depuis janvier 2000, en se prétendant recouvreur
illégal de sommes d’argent indéterminées pour le compte des victimes.
Fédération Américaine des Voyants et
Médiums Certifiés®™
Organisme de bienfaisance déclaré incorporation le
23/12/2016 à New York C397197 California New York
L’AFCPM
FAVMC diffuse gratuitement l’information sur les activités des divinateurs
astrologues-voyants afin que le consommateur soit normalement informé et
raisonnablement attentif et avisé vis-à-vis d’un bien ou d’un service.
The purposes to be pursued in
this state are:
Helping, by free advices of
counter intelligence, psychics, mediums, and astrologers victims and others
victims of various forms of mental frauds. Using for that any kind of
communication system. Help for people who needed The Shadow Walking.
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honoraires, ni dépens, ni demande de dons, ni quête
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